Du nouveau dans les salles
La ministre de la Culture Audrey Azoulay a soumis un nouveau décret auprès du Conseil d’Etat. Et un décret qui s’annonce être une bonne nouvelle pour les amateurs de liberté sexuelle sur grand écran (de moins de 18 ans – car oui, ils existent…) ! Celui-ci devrait modifier la législation des longs-métrages comportant des scènes de sexe non simulées auprès des mineurs, une mesure qui redonnerait du pouvoir à la commission de classification des œuvres du Centre national du cinéma (CNC).
À l’origine du décret, le rapport remis par Jean-François Mary, président de la commission de classification des films, au ministère en février 2016. «Le critère de la “non simulation” a perdu son intérêt au cours des récentes années, car une scène peut être tout à fait explicite à l’écran tout en ayant été simulée lors du tournage».
Une nuance qui fait toute la différence
Aujourd’hui, la réglementation a un impact important sur les retombées économiques : d’une part, un film interdit aux moins de 18 ans ne peut pas être diffusé par certains cinémas – de par la politique stricte prônée par ces grands groupes d’exploitation – mais il est aussi écarté des plateformes digitales, qui refusent de diffuser ces films.
Si ce décret passe, l’interdiction aux moins de 18 ans ne serait plus appliquée automatiquement aux films avec des scènes de sexe non simulées (donc explicites), seules les scènes de violence ou de sexe...Lire la suite sur Union
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