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Doit-on en finir avec nos fantasmes racistes ?

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Explorer le monde de la sexualité, celui du libertinage ou celui du porno, c’est aussi s’armer d’une ouverture d’esprit assumée, c’est aimer la zone de liberté que ces deux mondes proposent, et cela ne va pas sans accepter également de jouer avec nos stéréotypes, inspirés de la vie réelle.
La soumission féminine ? Aucun souci, même avec une gamelle et une laisse. Les simulations de viol ? Un classique du genre très apprécié, surtout avec les menottes. Le jeu du professeur et de l’écolière ? Un basique, avec les petites couettes infantilisantes en prime.

Et celui du noir qui vient jouer les étalons sauvages dans un couple de blanc candauliste ? Et les gangs bangs de noirs, un peu voyous, avec une jeune blanche effarouchée au milieu ?
Pour le milieu du porno, comme celui du libertinage, ces fantasmes racistes font partie de la panoplie classique proposée.

Mais ça commence à faire grincer des dents..

Le monde du porno : quand « l’interracial » rapporte plus

Ebony ass, BBC, Black, les tags pornographiques qui fétichisent les noirs et jouent sur les stéréotypes de la performance et des attributs sexuels plus développés (les fesses, les sexes, les muscles…) fleurissent sur les plateformes de porno « mainstream ».
Mais être noir et acteur porno, ce n’est pas juste être réduit à un « tag ».

La réalité économique de l’industrie traduit celle de nos fantasmes : faire l’amour avec un noir quand on est blanche (= pratiquer l’interracial) rapporte plus d’argent à l’actrice qu’une scène classique entre blancs, certaines actrices vont jusqu’à refuser de tourner avec des noirs ou des personnes « bronzées » pour des raisons...Lire la suite sur Union

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