Alors que la campagne présidentielle s’est achevé avec l’élection d’Emmanuel Macron, Union a décidé de s’intéresser à la vie sexuelle de nos politiques. L’histoire nous montre en effet que ces derniers ne sont pas des anges de la monogamie. Nous vous offrons donc un voyage chez les puissants entre partie fine, fellation présidentielle et tromperie. Comme le disait si bien Henry Kissinger : « Le pouvoir est le plus puissant des aphrodisiaques ».
Une pratique historique
Le libertin, dans sa définition, est un homme libre de mœurs et de pensées, infidèle et séducteur. Cela ressemble à s’y méprendre, avec un peu d’humour, à la définition d’un homme politique. Chez les grecs et les romains, le lien entre sexe et politique était évident et reconnu, les puissants proposaient les meilleures orgies et diriger allait de pair avec une vie dissolue au sens contemporain du terme car, à l’époque, le sexe n’était pas tabou. Les grands Rois de France perpétuèrent cette tradition. Louis XIV, pour ne citer que lui, a eu officiellement plus d’une dizaine de maîtresses. La Révolution française n’a pas changé cette habitude : Pouvoir = Sexe ! D’ailleurs les écrits du Marquis de Sade nous démontrent avec justesse la soif de sexe sans limites de celles et ceux qui nous gouvernent. Hommes et Femmes de Pouvoir ont traversé les époques et les libertinages. Car c’est bien de libertinage, parfois latent, et de sexualité dont nous parlons ici, nous ne sommes pas là pour évoquer les déviances sexuelles et autres affaires scandaleuses et pénales jalonnant
l’histoire de nos hommes politiques.
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